Avec Palimpseste, Ibn El Farouk poursuit sa quête de l’image ‘’absolue’’ celle qui naitrait en quelque sorte de l’envers de l’image, telle que nous la concevons, celle qui parlerait la langue de l’ambivalence et de l’ambiguïté mêlées, celle qui frôlant en permanence le moins que rien parviendrait à révéler et à prouver l’existence d’une image dans l’image éternellement non vue, éternellement à venir, éternellement active aussi dans les strates inaccessibles du rêve.

JL Poitevin